Les cultes Sidhs

Do Frankenstein Dream of Steam Sheep

Hell - Maât - Vhaéraun - Shaïtan
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Le culte de Hell

Principal et presque unique culte des drows, le culte de Hellest plus qu'une simple religion, c'est un chemin de vie, le destin de tout un peuple ...
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Le culte de Maât

Les sept flèches de la chasse

·         Respecte l’équilibre de l’univers dans lequel tu résides car tu en es le dépositaire et le gardien.
·         Fait abstraction de ton cœur pour rendre un jugement juste et impartial.
·         Donne la chasse à ton gibier, ne lui laisse aucune chance et tue le sans souffrance.
·         Ne fait couler le sang que pour préserver la vie et l’équilibre.
·         Ai le goût de la beauté dans chacun de tes actes, recherche la perfection dans tout ce que tu entreprend
·         Respecte le Vanda : le serment et la parole donnée qui font ta valeur. Ne promet rien que tu ne saurais tenir.
·         Mieux vaut un héros mort qu’un traître vivant

Les Maatans en Agartha

Acceptés chez certains peuple, traqués et persécutés chez les Sidhs, les suivants de Maat n’ont généralement pas une très longue durée de vie en Agartha. Dans les citées Sidh, il est quasiment impossible pour eux d’y survivre et les supplices qui leurs sont infligés sur simple présomption aurait de quoi refroidir n’importe qui. Il en est cependant qui, dégoûtés des affres traîtres de Hell, choisissent cette voie pour mener une vie plus droite et selon eux plus juste, du moins le temps qu’il leur reste à vivre.
Représentée par une svartálfar sublime un chat sur l’épaule, un autre sur les genoux, ou encore sur un char tiré par des panthères, il lui est accordé d’être une déesse protectrice, guerrière, chasseresse et sensuelle, mais comme la lionne, gare à ceux qui s’attaqueraient à ses enfants.

Le culte de Vhaeraun

Les six cartes de tête
 Garde toujours un atout dans sa manche, ce n’est pas de la tricherie c’est de la prévoyance
 L’important n’est pas d’avoir le bout en main mais de le faire lâcher aux autres.
 Le valet sait toujours quand courber l’échiner et piquer lorsque c’est nécessaire
 Pas vu, pas prit, pas prit pas pendu
 La meilleure façon d'imposer une idée aux autres, c'est de leur faire croire qu'elle vient d'eux.
 Aucun drow n'a reçu de la nature le droit de commander les autres. En conséquence ils se doivent de l’acquérir.

Les Vhaéraunistes en Agartha
Vivons heureux vivons cachés, même si on murmure que certaines révérées fermeraient les yeux sur leur étranges habitudes car ils demeurent d’excellent mâles politiques, ce n’est néanmoins pas un fait dont qui que ce soit irait se venter. Et puis Vhaéraun ne dit-il pas lui-même pas vu pas prit ?
Autre fois, il est arrivé que Vhaéraunistes et Hellien s’unissent pour une cause commune, mais se sont souvent des rareté qui prennent fin en même temps que la cause qui les avaient réunis. Les chiffres très peu officiels tableraient dans les alentours de 1 pour 1000 ce qui est déjà bien trop au goût des prêtresses et des templiers.
Vaérhaun est représenté le plus souvent par une carte à jouer, le joker pour être plus précis. Costume d’arlequin, chapeau a grelots sont ses apparats… Qui aurait cru que l’on puisse continuer d’être discret ainsi vêtu et pourtant c’est ce que l’on voit le plus que l’on remarque le moins.

Shaïtan

Shaïtan en Agartha
Shaïtan n’est pas à proprement parlé un dieu des Sidhs, comme le baron samedi il fait partit du folklore, il est celui qu’on invoque en jetant un mauvais sors, qu’on crache au passage d’un être que l’on hais. Il est le prince de ce qui se cache dans les abysses les plus sombres et dont le bras griffu sort pour happer l’imprudent qui s’y sera laissé prendre.
Shaïtan fait presque couler autant de sang que Hell et est de loin celui qu’elle tolère le mieux, tant qu’il ne marche pas sur ses plates bandes du moins et tant que les sorciers continuent de payer leur tribu de foi à son culte.
Il est représenté sous la forme d’un Sidh à la peau veinée de rouge dont le front est ceint de deux sublimes cornes écarlates qui s’enroulent sur sa nuque ou naissent d’immenses ailes membraneuses. On le représente parfois sous l’apparence d’un loup à trois tête à la gueule bavante d’écume. Shaïtan n’a pas toujours été aussi bien vu dans les citées Sidh et on garde encore l’habitude d’exterminer par défaut tout les ressortissant de la race canine, plus par convention que par réel besoin il faut bien l’avouer.