Do Frankenstein Dream of Steam Sheep
Les Que'ellar (Maisons Nobles)
La première : Valshaqu'ellar - La deuxième : Ul'sarellar - La troisième : Veldrintrill - La quatrième : Sarghalagor - La cinquième : Ssinssrig'vith - La sixième : Fahliell'orlegg - La septième : Vlosorthae - La huitième : Ssinz'har
Les maisons suivent une hiérarchie très précise et en perpétuel mouvement :
Les Que'ellar sont toutes maîtresses d'une ou plusieurs ruches qui sont constituées de bourgeois, c'est à dire de sidhs qui travaillent pour la maison mais qui ne sont pas nobles et qui ne vivent pas dans le palais mais dans des bourgades qui leur sont accolées.
La première : Valshaqu’ellar
Première maison de la cité, elle est la maison du matriarcat et la demeure de
Les filles de Hell y ont tout les droit, elles sont les fondamentaux. Prêtresses, la plus part d’entre elles sont aussi théurges. S’impose alors à elles le choix crucial de savoir si elles seront affiliées au temple ou à leur maison. Mieux vaudrait pour elles ne pas se tromper car les conséquences pourraient être fatales. On ne sera pas étonné de trouver en conséquence parmi les déçues à la course au trône : la seconde femelle noble à la tête du Temple, ayant voulu faire contre pouvoir à sa sœur. Les mâles quant à eux se livrent une lutte sans merci pour parvenir aux postes d’importance de la maison. Ils comptent parmi eux les meilleurs mages et guerrier de la citée.
Sa matriarche est l'Impératrice : Arasi Mâdharasi Valchaqu’ellar
La seconde : Ul’sarellar
La seconde maison de la cité est la maison de la suprématie. Parvenue à cette place par la force des armes et dotée d’une puissante armée, cette maison est avant tout une maison martiale. Connus pour être d’une grande susceptibilité et d’un sens de l’honneur relativement fort pour des sidhs, ses membres sont particulièrement attachés à leur noblesse. Jamais on n’aura vu femelle poser le pied dans une hanse ou pire encore dans les niveaux inférieurs. Ce sont les mâles qui se chargent de faire ce genre de liens, les moins gradés de préférence, les autres étant le plus souvent affiliés à l’armée à des grades important répartit par le champion.
La tradition veut que le géniteur soit aussi le champion et aucune héritière ne semble vouloir se déroger à cette règle, du moins pour le moment…
La troisième : Veldrintrill
Maison légèrement atypique, la maison Veldrintrill est une maison qu’il est difficile de définir. Guérisseurs, marchands, mages, tous semblent aussi inoffensif que l’agneau qui vient de naître. Du moins martialement parlant, leur armée est quasi nulle. Leurs esclaves parlent peu, nul ne saurait dire ce qui se passe entre ces murs magnifiquement forgés en motifs art nouveau où montent délicatement des araignées mécaniques qui en sont d’ailleurs le symbole.
La légende de l’arrivée de cette maison dans les maisons nobles est pour le moins auréolée de mystères : passée directement de la 12e à la 3e maison, les Veldrintrill s’étaient, en une nuit, installés dans leurs nouveaux quartiers. Quant à ce qu’il était advenu de la précédente et bien nul ne le sait précisément. L’explication officielle fut que les nobles de la maison Olathellar couvert de honte dans une escarmouche bon enfant auraient quitté la citée plutôt que de se remettre à la justice de la divine Hell. Les Veldrintrill purent donc asseoir leur place pour de bon et nul n’a su pour le moment les en déloger.
La quatrième : Sarghalagor
Ascètes, bourreaux, guerriers, templiers, cette maison est gouvernée d’une main de fer serrée de rouages de vapeur et ceci au propre comme au figuré. Ils méprisent les sentiments ou toute autre expression de faiblesse. Leurs esclaves chez eux ne font jamais long feu et si on les retrouve c’est souvent dans des états irrécupérables de transformation physique et de chirurgie.
Eux même ont souvent fait le choix d’endurer une incroyable souffrance physique afin de se rendre plus fort et plus résistants. Ayant poussé le concept de mécanique organique à un point d’excellence, ils sont aujourd’hui souvent aussi proche de la machine que du Sidhs. Certaines en disent qu’ils ne sont rien de plus que des pantins, d’autres tentent de précipiter leur chute, mais tous ne peuvent nier qu’ils sont inquiétant et qu’ils jouent d’un peu trop près avec les limites des préceptes de la divine Hell.
La cinquième : Ssinssrigg’vith
Epicuriens jusqu’au bout des ongles, les membres de cette maison ne semblent vivre que pour le plaisir. Celle du sexe, de la douleur, de la bonne chaire, des épices, de l’alcool, de la magie, on compte parmi eux plus de mages que de templiers, plus d’escrimeurs que de guerriers. Mystiques et érudits, ils sont tout autant craints et respectés pour leur lien si particulier avec
D’aucun sait qu’ils possèdent l’une des plus grosses productions d’épices, de miellat et d’esclave que leur intendant gère avec brio du moins jusqu’à ce que le prochain ne prenne sa place. Il n’est pas rare de voir plusieurs de ses membres à
Leur matriarche est la révérée Malice Ssinssrigg'vith.
La sixième : Fahliell’orlegg
Chacune des pierres de cette maison fut érigée par le sang de ses occupants, même les voûtes et les bas reliefs qui ornent la porte d’entrée semble porter en eux cette marque sur leurs visages démoniaques. Des membres de cette maison, on perçoit toujours d’aussi courtoises créatures qu’on pourrait l’espérer même s’il est rare de voir les mêmes visages aux mêmes postes plus d’un cycle durant. Pourquoi exactement ? Et bien, l’on suppose que la concurrence y est plus dure qu’ailleurs. Elle est la seule maison dont la noblesse précède la descente des sous races et il semblerait qu’aucune matrone n’ai jusqu’ici souhaitée ou osée braver la très ancienne Ilharess Nimloth Huek’lar Fahliell’orlegg qui règne encore depuis la création de la maison mais dont nul ne connaît le visage.
La septième : Vlosorthae
Il y a une tradition bien particulière au sein de la maison Vlosorthae, chacun de ses membres est un Sidh de sang pur sur aussi loin qu’on puisse remonter dans son arbre généalogique et c’est bien là, la condition sine qua non à toute entrée au sein de cette famille (ce qui n’est pas arrivé depuis au moins une dizaine de cycles). Les membres préfèrent rester entre eux.
Cette famille étend même ce principe à ses ruches, où vivent ses bourgeois et les Sidhs qui travaillent pour elle. Elle tue systématiquement les enfants qu’ils soient (anoblis ou non) portant un quelconque défaut et à créé une milice qu’elle a nommé Sargthlin’vlos qui descend régulièrement dans les ruches afin d’y purifier le sang des Sidhs, leur but étant de créer une espèce pure de Sidh répondant à certain critères préétablis correspondant au respect des huit pattes de l’araignée.
La huitième : Ssinz’har
Dernière maison des huit Que’ellar mais non des moindres, la maison Ssinz’har voue un culte quasi fanatique à la perfection. Il font de chaque chose un art et le font bien que ce soit tant d’un aspect martial qu’artistique. Les plus grandes inventions comme la plateforme de transport ailée leur est due. Ils ont un goût prononcé pour l’art, les complémentarités, le savoir vivre dont ils ont fait une seconde nature. C’est la seule maison qui a créé en plus des postes habituels d’intendant, de géniteur ou de champion, celui aussi important si non plus de maître(sse) du protocole.
C’est un poste qui apporte presque autant de privilèges que de contraintes. Et quand il est question de privilège, en fonction de son sexe le maître du protocole possède autant de pouvoir qu’un géniteur ou qu’une héritière de haut rang.
Cette maison rayonne par une aura bien particulière, ses membres (très spécialisés) couvrent l’ensemble des disciplines à un haut niveau et apprécient particulièrement les bons mots pour lesquels ils sont renommés. Politicien incontestés et incontestables cette maison représente un des challenger majeurs des Que’ellar et une des plus grosses sources de craintes des maisons au dessus.
La première : Valshaqu'ellar - La deuxième : Ul'sarellar - La troisième : Veldrintrill - La quatrième : Sarghalagor - La cinquième : Ssinssrig'vith - La sixième : Fahliell'orlegg - La septième : Vlosorthae - La huitième : Ssinz'har