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Les grandes lignes de la société Sidh

Les mâles et la société Sidh - Maisons et Hanses, les arcanes du pouvoir - Familiers, esclaves et domestiques

Les mâles et la société Sidh

La condition féminine dans la société victorienne constitue, pour de nombreux historiens, une illustration du paradoxe existant alors entre, d'une part, la puissance et la richesse de la nation britannique du XIXe siècle et, de l'autre, la misère sociale qui prédomine dans le pays. Au cours de cette période coïncidant, du moins pendant la plus grande partie du XIXe siècle, avec le règne de la Reine Victoria (1837–1901), le statut de la femme s'est compliqué du fait d'une conception à la fois singulière et très répandue de ce que devait être l'« idéal féminin ».

Sur le plan juridique, les droits de la femme mariée sont similaires à ceux de l'enfant mineur : elle n'a ni le droit de vote, ni celui de porter plainte, ni même celui de posséder des biens propres.

Sources Wikipédia – Condition féminine à l'époque victorienne.

Fort de cet éclairage vous pouvez à présent fort bien vous imaginer à quoi ressemble la condition des mâles à Urian Massia.

Nobles ou roturier, ils sont sous la protection d'une maison dirigée par une matriarche qui se doit de subvenir à ses besoins, qu'ils soient matériels ou spirituels. Dans ce même état d'esprit, un mâle qui commet un délit fera peser la faute et le discrédit sur la maison toute entière qui est responsable de lui. Littéralement, le mâle appartient à sa maison au même titre que les femelle qui la composent et ne peut la quitter qu'avec l'aval de sa matriarche ou les pieds devant. Il leur est possible de prendre du pouvoir et de l'autonomie en atteignant les postes à responsabilité au sein de la maison tel que champion, intendant ou géniteur. Ces postes sont communément admis comme dévolus aux mâles auquel il revient de s'occuper du fonctionnement intrinsèque de la maison.

Outre ceci, il est possible aux mâles de toute caste hors parias d'intégrer une hanse ou ils pourront occuper une place importante jusqu'à maître de hanse. Qui est le poste le plus important que puisse occuper un mâle au sein de la société Sidh.

Pour les parias ces différence tendent à s'effacer en raison de l'extrême pauvreté des niveaux inférieurs.

Maisons & Hanses, les arcanes du pouvoir

Huit maisons nobles sont à la tête de la cité, elles sont appelées Que’ellar . Huit comme les pattes et les préceptes de la divine Hell. Leurs matriarches, comme pour les maisons non nobles, ont tout pouvoir sur leurs filles comme leurs mâles, sont le symbole de leur maison, leur parole fait force de loi pour la gloire de la Sombre Mère. Toujours prêtresses, elles sont affiliées au temple, pouvoir indissociable de leur condition qu’elles écoutent avec plus ou moins d’assiduité.

La première des Maisons Nobles est la maison la plus puissante de la cité et sa matrone est la reine de la cité, on l’appelle Impératrice. Elle préside le conseil des matrones et sa voix met toujours le point final de toutes décisions à prendre.

L’Orsriless est la Maîtresse du Temple. Si elle ne possède officiellement aucun pouvoir politique, toutes les femmelles sont passées à un moment ou un autre dans ses rang pour une durée plus ou moins longue… Elle a un pouvoir principalement consultatif.

On distingue quatre classe, les nobles, les roturiers, les bourgeois et les parias. Classés dans cet ordre-ci, cela indique aussi leur supériorité dans leur rang social. Au sein même de ces classes, on trouve une hiérarchie mais par exemple : il sera admis officieusement qu’un mâle noble pourra se considérer comme supérieur à une femelle paria. Bien entendu des nobles peuvent appartenir à une Hanse. Les roturiers sont les membres des maisons non nobles, à savoir toutes les autres maisons qui ne font pas partie des huit premières. Il est à noter qu’il est possible pour une maison non noble (El’lar) de faire partit des huit, comme il est possible à une maison de gagner un rang parmi les maisons nobles autre que lors de la cérémonie du Orbb’kyorl qui a lieu une fois tout les huit cycles, il suffit pour cela d’épurer (voir culte de Hell : épuration) purement et simplement la maison au dessus. (Voir Que’ellar et El’lar)

Les bourgeois sont appelés ainsi lorsqu’ils font partit des ruches de maisons ou d’une Hanse. Membre de cette dernière, ils bénéficient du pouvoir de leur Hanse, de leur unité relative et de leur protection. Les hanses sont le pouvoir régisseur de tout ce qui fait la vie de tout les jours au sein de la cité. Tout passe par elles que ce soit le crime organisé jusqu'au traitement des eaux usées ou le commerce d'esclave. Occuper une place importante parmi une hanse s'est s'assurer d'avoir voie au chapitre dans tout ce qui concerne la vie de la cité.

Quant aux parias et bien ils sont tout le reste, la plèbe, le petit peuple, ceux qui tentent de survivre au milieu des luttes de pouvoir incessantes et des épurations en règle, qui font tourner les turbines qui permettent aux matrones d’avoir de l’eau pure, qui surveillent les machines, qui mendient, qui pillent, qui existent mais qu’on ne voit pas, bien loin dans le fond du gouffre des cités Sidh.

Esclaves, domestiques et familier

Lorsque l’on est une sous race, un prisonnier de guerre, un paria ou autre chose, il est quasiment impossible de trouver sa place au sein de la société Sidh aussi, souvent ce partagent ils les statut suivants :

Les esclaves

Les esclaves sont la plus part des races non Sidh vivant dans les citées. Utilisés comme outils de travail, de plaisir ou de guerre, ils vivent généralement entassés dans les hangars des maisons ou des hanses. N’importe qui peut posséder un esclave pour peu qu’il puisse se l’offrir. Certains Sidh peuvent être mis en esclavage : les prisonniers de guerre, les hérétiques et les personnes purgeant une peine auprès de leur maître, ils bénéficient cependant d’un statut particulier. Un Sidh peut jouir comme il l’entend de son esclave, considéré comme un bien.

Les familiers

Les familiers à la différence des esclaves bénéficient d’un statut un peu à part voir même d’une semi liberté. Un tressym peut être un familier comme peut l’être un elfe ou un gobelin, les familiers ont plus le statut d’animal de compagnie que celui d’objet. Un esclave peut dans le meilleur des cas devenir familier, son maître devient alors responsable de ses agissement. Les familiers vivent dans la maison de leur maître parfois même dans ses appartement, après c’est à la discrétion du maître des familier tant qu’il reste dans les préceptes de Hell, bien entendu.

Les domestiques

Peut-être le sort le plus enviable, et encore. Les domestique sont des Sidh qui ne sont pas vraiment des bourgeois qui se sont mit au service d’une maison pour pouvoir gagner leur croûte. Ils ne sont néanmoins pas légions puisque contrairement aux esclaves ou au familier on ne les achète pas une fois pour toute, il faut les payer et c’est souvent plus coûteux. Mais bon avoir des domestique est synonymes de richesses donc il est de bon ton d’en avoir en temps que signe ostentatoire. Ils ont un statut légèrement à part par rapport aux parias.

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